Ce mercredi 13 avril, à défaut de transférer de l’argent, ils ont transféré leurs connaissances.
Oui, nous parlons bien de Paul GÉRARD et Antoine ROUAULT DE COLIGNY, respectivement développeur back-end et technical team leader, dans la start-up française, devenue licorne : LYDIA.
Ces deux professionnels nous ont fait l’immense plaisir d’animer à nos côtés la Coaching Session N°3. Cette discussion vient contraster avec les deux précédentes car elle fut plus orientée technique. Avec deux développeurs de haut niveau, on n’allait pas se priver ! Toutefois, ils n’ont pas manqué d’aborder avec nous le côté humain du métier de développeur : communication professionnelle, gestion de projet et travail d’équipe.
Mercredi soir, nos étudiants admis à Bordeaux ont pu bénéficier des lumières d’Antoine et Paul. Revenons donc plus en détail sur le contenu !
C'est quoi être développeur ?
“Être développeur, c’est aussi savoir gérer la pression“. Antoine et Paul se rejoignent sur le fait que le développeur, au bout de la chaîne, implémente les modifications sur une application. Il en découle des demandes des autres services, parfois urgentes, qu’il faut savoir gérer.
Sujet très important pour nos intervenants, il était nécessaire de revenir sur la communication. Car oui, être développeur, c’est aussi travailler main dans la main avec d’autres corps de métier. En cela, Antoine et Paul tiennent à casser le cliché du développeur “enfermé dans son coin”. Retrouvez un extrait de la discussion ci-dessous.
Il est important de rappeler que Sup de Vinci propose en ce sens dans ses programmes des cours de communication professionnelle et de gestion de projet, justement pour être à l’aise dans les échanges avec ses collaborateurs. Ce sont les soft-skills !
La qualité ou la quantité ?
En toute transparence, Antoine met en avant le fait que les rémunérations fonctionnent aujourd’hui beaucoup par grille. À la question “qu’est-ce qui est le plus important ? La quantité de langages de code connus ?”, il répond : “La rémunération et la qualité du profil à l’embauche dépend plus de la maîtrise des technologies plutôt que de la quantité de langages connus“
Voici donc quelques anecdotes, quelques moments intéressants qui ne reflètent qu’une petite partie de tous les échanges qui ont eu lieu lors de cette coaching session. Si vous êtes intéressés pour participer à notre prochaine édition le mois prochain, n’hésitez pas à déposer dès maintenant une candidature, c’est totalement gratuit !
Par Quentin Faure
Chargé de communication
